Nos Projets
Les projets scolaires

 L'école est, depuis la création de l'association, un de ses centres d'intérêt majeur. Le taux d'alphabétisation pour les moins de 25 ans atteignant les 26% et le taux net de scolarisation étant de 43%, nous avons décidé, forts de l'expérience acquise au cours du premier projet, de continuer à soutenir le développement de la scolarisation en République Centrafricaine.
 Dans ce but notre première action consiste à financer la vie quotidienne d'une dizaine d'orphelins, auxquels l'école Sainte Marie offre en contrepartie la scolarisation.

 Nous souhaitons également développer les échanges entre écoliers français et centrafricains et soutenir tout projet scolaire entrant dans les conditions de notre charte. Le départ de trois des membres en 2005 permettra de déterminer ces projets et les conditions de leur mise en œuvre.

Les projets du centre socio culturel

 On sous-estime trop la portée de la culture et de l'éducation mais il faut bien comprendre qu'ils sont un des fondements de la démocratie : dans ce pays en reconstruction, ils sont indispensables pour apporter à nouveau un équilibre.
 Or le centre socio culturel de Berbérati est un formidable moyen d'accès à la culture, aidant ainsi à la construction des futurs citoyens et à la stabilisation de ce pays.
 Il permet à la population, y compris aux couches les plus défavorisées, de se divertir grâce aux différentes manifestations culturelles, tout en les sensibilisant aux problèmes quotidiens de société
 C'est pourquoi nous avons pour but de trouver des fonds afin de soutenir le centre culturel de Berberati, plutôt à travers des projets ponctuels, eux aussi identifiés lors du voyage de 2005,  que par un financement régulier qui nuirait à l'autonomie du centre.

Le projet prison 
 
 Si nos hôtes nous encourageaient constamment à visiter la ville et les différents lieux d'activité, ils nous ont par contre fortement déconseillé de nous rendre à la prison et pour cause : y sont enfermés dans une salle unique d'environ quatre-vingt mètres carrés une centaine de prisonniers, hommes femmes et enfants mélangés, ce qui facilite la transmission des différentes MST.
 Le directeur se démène avec le budget qui lui est alloué pour fournir un maigre repas par jour à chaque prisonnier. Certains de ces détenus ont été condamnés pour sorcellerie comme le prévoit la loi Centrafricaine.

 Le projet qui nous a été proposé consiste à participer à la recherche de financement pour une nouvelle prison qui permettra qu'hommes et femmes soient incarcérés séparément.
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